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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

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L’impact financier du cancer

Le cancer représente un fardeau financier bien documenté ; les Canadiens nouvellement diagnostiqués perdent 3,18 milliards de dollars en salaire par année.

Les Canadiens qui se battent contre le cancer et d’autres problèmes de santé graves doivent souvent emprunter de l’argent à des amis et à des membres de la famille, accumuler des dettes sur leurs cartes de crédit, faire des emprunts ou se résoudre à faire faillite. Nombreux sont ceux qui retournent travailler à temps plein avant d’être prêts parce qu’ils n’ont pas suffisamment de soutien financier durant leur traitement. Ce faisant, ils sont souvent moins productifs au travail et ils s’absentent davantage pour des raisons de maladie.

Le RCCS estime qu’aucun Canadien ne devrait être ruiné parce qu’il lutte pour sa vie contre une maladie grave. Pour régler ce problème, nous concentrons nos efforts sur :

  1. La sensibilisation à la pression financière qu’exerce le cancer sur les familles canadiennes.

    Le RCCS mobilise les médias, les décideurs, les membres de l’industrie ainsi que d’autres partenaires pour souligner les difficultés financières auxquelles font face de nombreux Canadiens lorsqu’ils combattent un cancer. Nous nous efforçons de soutenir et de promouvoir les initiatives qui visent à amoindrir ce fardeau.
     
  2. La réforme des programmes de remplacement des revenus, dont les prestations de maladie de l’assurance-emploi.

Ces programmes, qui ont pour objectif l’allégement de l’impact financier de la maladie, ont été modifiés par le gouvernement fédéral pendant la pandémie de COVID-19. Auparavant, pour être admissible, une personne malade devait avoir travaillé au moins 600 heures au cours des 52 semaines précédant la demande, et le versement des prestations de maladie était limité à 15 semaines.

Le RCCS salue les modifications apportées aux conditions d’attributions des prestations de maladie de l’assurance-emploi : dorénavant, pour être admissible, une personne malade devra avoir travaillé entre 420 et 700 heures au cours des 52 dernières semaines, et le versement des prestations de maladie pourra se faire sur une période allant de 14 à 45 semaines.

Toutefois, le RCCS souhaiterait que les prestations d’assurance-emploi n’aient pas de répercussions sur les prestations de maladie et que celles-ci ne soient pas assujetties à un nombre minimal d’heures travaillées. Les seuils horaires liés à l’emploi devraient être plus équitables et adaptés aux différentes situations auxquelles les personnes malades peuvent être confrontées. Ainsi, celles-ci pourraient bénéficier d’une longueur d’avance et d’une plus grande stabilité au moment opportun, ce qui pourrait représenter une économie à long terme pour les finances publiques en plus de réduire considérablement la charge financière dévastatrice que représente un cancer pour les personnes qui en souffrent.

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