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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Contributor : CBCN Team

Trois choses à prendre en compte si vous envisagez d’arrêter le tamoxifène

Si vous avez un cancer du sein, vous avez sûrement déjà entendu parler du tamoxifène. Je me rappelle la première fois où mon oncologue m’a parlé de ce médicament qui relève de l’hormonothérapie. C’était pendant l’un de mes contrôles hebdomadaires, lors de mes séances quotidiennes de radiothérapie. Il m’a expliqué qu’à cause du fait que les cellules cancéreuses trouvées dans mon sein droit présentaient 95 % de récepteurs pour l’œstrogène et la progestérone, les hormones produites naturellement dans mon corps pouvaient se fixer aux cellules cancéreuses et les aider à se développer. Bien entendu, j’ai accepté de prendre ce médicament sans aucune hésitation.

Conseils pour se préparer à un rendez-vous médical

Se préparer pour un rendez-vous médical avec un spécialiste peut s’avérer intimidant. Vous pourriez avoir de nombreuses questions sur votre diagnostic, le programme de soins, les approches alternatives, etc. Les patientes qui se disent contentes de leur rendez-vous sont généralement celles qui s’y sont bien préparées. Et bien que la composante administrative puisse varier selon les centres, le déroulement des rendez-vous est généralement le même.

Quelle est l’influence de la race et de l’ethnicité sur le cancer du sein?

Avec plus de 2,2 millions de cas en 2020, le cancer du sein est la forme la plus commune du cancer selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). On estime qu’une femme sur douze sera atteinte d’un cancer du sein et que celui-ci sera la cause principale de décès par cancer chez les femmes. Toutefois, grâce à l’augmentation du taux de détection précoce, aux programmes de dépistage et à l’amélioration des traitements, le taux de survie au cancer du sein n’a cessé de s’améliorer depuis les années 1980.

Défendre ses intérêts : par et pour les patients

L’année dernière, nous avions écrit un billet sur l’importance pour les patients de se battre pour défendre leurs propres intérêts. Nous vous avions donné quelques trucs et astuces pour vous aider à y parvenir et être des acteurs à part entière de vos traitements. Même si ces informations sont utiles et peuvent s’appliquer à des situations dans lesquelles vous vous êtes peut-être retrouvés, nous pensons fermement qu’il vaut mieux les entendre de la bouche même de personnes qui les ont vécues.

Défendre les droits des patients avec intégrité

Le financement par l’industrie des organisations sans but lucratif de défense des droits des individus est de plus en plus remis en question. Nombreux sont ceux qui croient que tout groupe qui reçoit des fonds des compagnies pharmaceutiques est forcément biaisé. Cette conviction fait toutefois fi de toutes les précautions prises par les organismes de bienfaisance dans le domaine de la santé pour faire preuve d’éthique et pour préserver leur objectivité et leur crédibilité. Il va sans dire que cette critique ne correspond pas à l’approche centrée sur le patient préconisée par le Réseau canadien du cancer du sein (RCCS).

Exode de cerveau : l’impact du cancer du sein sur ma façon de penser

J’ai commencé à compter le nombre de fois où je m’inflige une correction affective chaque jour. J’entends par là toutes les critiques méchantes, cruelles et blessantes que je me dis en silence, dans l’intimité de mon esprit. Hier, j’ai atteint le chiffre vingt-deux, le record de la semaine. Jusqu’à maintenant, aujourd’hui, je suis rendue à sept pensées cinglantes. Il est neuf heures du matin et mon réveil a sonné à six heures trente.

Vivre de manière positive avec un cancer du sein et bouger en toute sécurité

Le cancer du sein constitue une épreuve difficile. Vous cherchez des réponses et des informations sur cette maladie et ses traitements. Vous tentez de demeurer optimiste tout en acceptant ce que l’avenir peut vous réserver.

Traitement préventif du cancer du sein héréditaire

If you are at high risk for developing breast cancer because of family history or because you have the BRCA1 or BRCA2 gene mutation, you have several preventative treatments to consider. These options include close surveillance, chemoprevention, and prophylactic mastectomy, with or without breast reconstruction. 

Une biopsie liquide redonne espoir à une famille ontarienne

Carla Van Wyck-MacDonald habite près de Shallow Lake, en Ontario, avec son mari et ses quatre enfants âgés de 9, 11, 13 et 14 ans. Elle a reçu un diagnostic initial de cancer du sein deux ans après le décès de sa mère des suites de la même maladie.

Faire confiance à son instinct et connaître son corps

Je suis issue d’une longue lignée de survivantes du cancer du sein. Je n’ai donc pas du tout été surprise de recevoir un diagnostic de cancer du sein en 2008. Je n’avais que 50 ans et j’avais célébré ce jalon important avec ma sœur jumelle en février 2007. Quelques mois plus tard, en décembre de la même année, je savais que quelque chose clochait. Une mammographie passée au centre Sunnybrook, en octobre je crois, n’avait rien révélé. Ni elle ni le minutieux examen des seins subis au même hôpital n’avaient permis de déceler une tumeur extrêmement petite près de mon aisselle gauche, enfouie profondément près d’un ligament. Elle était indétectable à ce moment. Plus tard cet automne-là, j’ai remarqué un pli dans mon sein alors que je séchais le bas de mon corps après une douche au gymnase. J’ai tout de suite su de quoi il en retournait et j’ai pris rendez-vous avec mon médecin à la clinique spécialisée dans le dépistage des personnes à risque élevé de souffrir d’un cancer du sein du centre Odette.

L’importance de prendre soin de soi pour quiconque affronte un cancer du sein

Prendre soin de moi. Cette idée ne m’a jamais traversé l’esprit lorsque j’ai reçu mon diagnostic de cancer du sein et encore moins après mon opération et durant mon traitement. J’aurais dû y penser. Et, non, ce n’est pas égoïste.

Des oncologues vous informent au sujet des vaccins contre la COVID-19

Lorsque la pandémie de COVID-19 a été déclarée en mars 2019, il manquait d’informations sur le virus. Puis, au fil du temps, de plus en plus de recherches se sont penchées sur le virus et elles ont permis de mieux comprendre son fonctionnement, ses symptômes, qui il contamine et bien plus. Ces recherches ont également contribué à déterminer que les patients atteints de cancer étaient plus susceptibles de développer des symptômes graves s’ils attrapent la COVID-19. Même s’il manquait à la fois de preuves pour indiquer quels cancers précis étaient liés à une plus grande vulnérabilité et de recherches pour établir sans équivoque si les patients actuels et passés faisaient face aux mêmes risques, les quelques conclusions tirées à ce moment s’avéraient suffisantes pour classer les gens ayant reçu un diagnostic de cancer du sein comme étant à haut risque. Bien sûr, le risque de chacun dépend de nombreux facteurs et varie selon les individus.

La féminité divine en chacune de nous

Ma féminité irradie tout mon être. J’en suis arrivée à cette conclusion à la suite de la perte d’un attribut physique qui, depuis de nombreux siècles, représente un symbole puissant de la féminité et de la sexualité : mes seins. À l’âge de 18 ans, on m’a annoncé que j’étais porteuse de la mutation du gène BRCA1, à l’instar de ma mère, de ma tante et de ma sœur. Cela signifiait que mon risque d’être atteinte d’un cancer du sein était élevé.

Journée mondiale du lymphœdème 2021 : Faciliter l’accès au traitement

L’objectif de la Journée mondiale du lymphœdème consiste à faire des traitements du lymphœdème et des maladies lymphatiques une priorité mondiale. Les habitants de nombreux pays participent à cet événement de sensibilisation annuel. Depuis ses débuts en 1996, la Lymphedema Association of Ontario (LAO) s’est engagée à améliorer la vie des personnes aux prises avec un lymphœdème et elle a accru son dynamisme au cours de la dernière année. La Journée mondiale du lymphœdème représente pour nous une occasion de poursuivre notre travail de sensibilisation et de défense des droits. La LAO établit des partenariats avec les hôpitaux, nos membres professionnels et les patients pour attirer l’attention sur le lymphœdème en Ontario.

Quand le pire des scénarios se concrétise

Les pires semaines de ma vie venaient finalement de s’achever. Six semaines s’étaient écoulées depuis ma tumorectomie. Six semaines terrifiantes durant lesquelles j’ai été confrontée à de nombreuses inconnues dans un état de désillusion total. L’attente se terminait enfin : je rencontrerais pour la première fois mon oncologue médical. Elle examinerait mon rapport de pathologie et m’expliquerait mon plan de traitement. En route vers mon rendez-vous, je me sentais prête à affronter tous les obstacles. Après avoir vécu les jours les plus sombres de ma vie, j’en étais ressortie forte et optimiste. J’avais effectué beaucoup de recherches et j’avais décidé que les chances étaient de mon côté, que je pouvais m’en tirer… à moins qu’il ne soit question d’un cancer du sein triple négatif (CSTN) parce que ce diagnostic changerait la donne. Cependant, cela ne m’inquiétait pas puisque je savais que le CSTN ne constituait que 10 % à 20 % des cancers du sein et que, outre mon âge, je ne présentais pas vraiment de facteurs de risque. Je suis donc arrivée pleine d’espoir à mon rendez-vous lorsque j’ai été frappée par ce que j’appelle le pire scénario. Dès que j’ai entendu « votre cancer est triple négatif », j’ai éclaté en sanglots. Je ne me souviens plus du reste de l’entretien.

Le cancer du sein triple négatif : des « si seulement » et un conseil

Si l’on vous annonce que vous avez un cancer du sein, vous voulez pouvoir dire : « il a été dépisté tôt ». La détection précoce s’avère particulièrement importante dans le cas du cancer du sein triple négatif (CSTN), un type agressif et difficile à traiter.

L’immunothérapie et le cancer du sein expliqués : réflexions d’une chercheuse qui a elle-même été atteinte d’un cancer du sein triple négatif

Les thérapies traditionnelles contre le cancer (comme la chimiothérapie et la radiothérapie) ont démontré une efficacité généralisée pour lutter contre divers types de cancer. Elles sont toutefois aussi connues en raison de leurs effets secondaires indésirables, voire toxiques. En effet, puisqu’elles ne tuent pas uniquement les cellules cancéreuses, elles endommagent les cellules saines du même coup. C’est ici que l’immunothérapie entre en jeu. Elle utilise le système immunitaire du corps pour combattre le cancer qui s’y développe. Imaginez que votre corps est un champ de bataille et que votre système immunitaire joue le rôle des soldats de première ligne, prêts à attaquer les envahisseurs étrangers. Les cellules cancéreuses posent toutefois une difficulté : elles ne sont pas aisément reconnues comme des agents pathogènes (tels les virus et les bactéries) puisqu’elles proviennent de l’organisme de l’hôte. Il s’agit en fait de cellules normales qui ont muté. L’hypothèse selon laquelle le système immunitaire pourrait être utilisé pour cibler et tuer les cellules cancéreuses a été formulée il y a longtemps, mais trouver la bonne façon d’exploiter cette habileté demeure une tâche ardue.

Huit articles qui ont facilité ma convalescence

Le jour où mon médecin m’a annoncé que j’avais un cancer du sein, j’ai rencontré mon chirurgien et mon rendez-vous pour ma mastectomie partielle (aussi appelée tumorectomie ou chirurgie mammaire conservatrice) a été fixé. Cela n’est pas surprenant. La Société du cancer du sein du Canada affirme que le cancer du sein représente le cancer le plus souvent diagnostiqué chez les Canadiennes et la deuxième cause de décès dus au cancer au Canada. Conséquemment, prendre un rendez-vous rapidement devient une priorité.

Être parent en plein traumatisme

Mon aîné a 17 ans et quatre frères de 14, 10 et 6 ans (des jumeaux). Je n’affirme pas être une experte en parentalité, mais je possède suffisamment d’expérience maintenant pour connaître une chose ou deux sur le sujet.

En cette Journée mondiale contre le cancer, engagez-vous à passer à l’action

Le 4 février est reconnu comme la Journée mondiale contre le cancer, une initiative mondiale menée par l’Union internationale contre le cancer (UICC) et axée sur la sensibilisation, l’éducation et l’action. L’objectif de cette journée est de créer un monde où les décès en raison du cancer peuvent être évités et où tous ont accès à des soins adéquats et un traitement salutaire.