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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Contributor : CBCN Team

Cinq choses qui créent de la joie dans ma vie

C’est drôle que le cancer ait modifié ce que je pense de moi-même et de ma vie. Cela n’a rien eu de comique même si, croyez-moi, j’aurais aimé rire davantage. Il ne s’agissait pas non plus d’une sorte de questionnement existentiel, même si je me suis torturé l’esprit les premières semaines suivant mon diagnostic pour trouver une explication à l’apparition de mon cancer du sein. Selon moi, c’était parce que je n’ai pas utilisé de crème solaire enfant, que j’ai bu et fumé durant ma vingtaine, que j’ai travaillé 80 heures par semaine pour gravir les échelons pendant ma trentaine et que j’ai traversé l’épreuve d’un déchirant divorce qui m’a anéantie durant ma quarantaine. Mais ce n’était pas le cas.

Parlons soins palliatifs. 6e partie : Planification des funérailles : Comment cette tâche redoutée peut en fait apporter un certain soulagement

Planifier des funérailles pourrait représenter une des tâches les plus douloureuses et difficiles que vous aurez à accomplir, en particulier s’il s’agit des vôtres. Y songer seulement peut s’avérer accablant, déchirant et causer de l’anxiété. Cela dit, bien des gens affirment que même s’ils redoutaient l’idée de devoir organiser leurs propres funérailles, finaliser ce processus leur a souvent procuré une très grande paix d’esprit et leur a enlevé un énorme poids sur les épaules. Puisque la période qui suit le décès d’un être cher s’avère extrêmement pénible pour les familles, la planification des funérailles peut les soulager d’une partie du stress. De même, elle peut vous donner la tranquillité d’esprit de savoir que vos souhaits seront respectés.

Affronter la « scanxiété »

La scanxiété n’est peut-être pas officiellement un vrai mot, mais les émotions qu’elle évoque sont bien réelles. Very Well Health la définit comme un terme utilisé pour « décrire l’anxiété ressentie par les personnes atteintes d’un cancer pendant l’attente liée à un examen d’imagerie ». Il est possible de ressentir une appréhension avant les tests d’imagerie, pendant leur déroulement et lors de l’attente des résultats, et ce peu importe si les tests ont été réalisés pour poser un diagnostic, faire le suivi d’un traitement, vérifier s’il y a une récidive ou dans le cadre d’un examen de santé de routine. L’appréhension et la peur ressenties peuvent aller de la claustrophobie dans l’appareil d’imagerie à l’anticipation du pire scénario possible. De nombreuses personnes ressentent une « scanxiété ». Il importe donc de connaître des techniques qui contribuent à éliminer l’anxiété.

Le cancer du sein et les jeunes femmes

Le cancer du sein est souvent associé aux femmes plus âgées. Les plus récentes statistiques démontrent que 83 % des cas de cancer du sein surviennent chez les femmes de 50 ans et plus. En fait, le risque de développer un cancer du sein s’accroît avec l’âge, ce qui fait de l’âge un facteur de risque. Les taux d’incidence de ce cancer augmentent après 40 ans et culminent à 70 ans.

Allaiter après un diagnostic de cancer du sein

L’allaitement naturel a été associé à quelques bienfaits pour la santé, notamment la réduction du risque de souffrir d’un cancer du sein1. Cela pourrait s’expliquer par la diminution de l’exposition à l’œstrogène et par la perte de tissu mammaire2. Mais qu’arrive-t-il lorsque l’allaitement ne peut pas réduire votre risque de cancer du sein parce que vous avez déjà reçu un tel diagnostic ? L’allaitement maternel comporte son lot de défis, mais avoir un nouveau-né tout en affrontant un cancer du sein s’accompagne de complications inédites. L’une d’entre elles consiste à savoir si vous pouvez allaiter et si c’est le cas, comment vous y prendre.

Une sensibilité à fleur de peau : l’histoire de ma pause de tamoxifène

J’espère parvenir à écrire cet article sans pleurer. Ou, si je deviens émotive, je souhaite ne pas devoir arrêter un million de fois en attendant que les sanglots s’atténuent suffisamment pour que je puisse continuer à taper mon texte. Et non, je n’exagère pas.

Le plus récent magazine numérique du RCCS : Les thérapies complémentaires

Le RCCS conçoit des magazines articulés autour de thèmes importants pour les personnes touchées par le cancer du sein. Ces magazines facilitent l’accès des patientes à de l’information en regroupant en un seul endroit des renseignements sur un sujet précis lié au cancer du sein. Les articles de notre magazine sont tirés de notre blogue À nous la parole.

Mon eczéma s’est avéré être la maladie de Paget — un cancer du sein rare

Mon texte se veut un message d’intérêt public pour toutes les femmes. On nous dit toujours de pratiquer l’auto-examen des seins et de passer des mammographies. La maladie de Paget du sein est un cancer du sein dont je n’avais jamais entendu parler jusqu’en octobre dernier.

Le mythe selon lequel le cancer ne fait aucune discrimination

Le cancer ne discrimine pas. Cette phrase est souvent répétée pour mettre en évidence la prévalence du cancer. L’idée sous-jacente est que peu importe que nous soyons jeunes ou âgées, pauvres ou riches, noires ou blanches, notre risque de recevoir un diagnostic de cancer s’avère le même. Malheureusement, à l’instar de nombreux autres aspects de notre société, le cancer exerce une discrimination. Nous répertorions ci-dessous dix résultats de recherches sur le cancer du sein en particulier qui illustrent le caractère inégalitaire d’un tel diagnostic. Ces études démontrent que le cancer du sein touche les groupes sociaux différemment. Même si une partie de ces disparités s’explique par la nature insidieuse du cancer lui-même, les autres découlent d’inégalités sociétales et systémiques mises en évidence lorsqu’il est question de la santé.

Passer à un cheveu

Le cancer du sein a rendu mes cheveux plus épais. Et plus ondulés. Pas d’un seul coup bien sûr. Ce n’est pas comme si j’avais reçu un cadeau spécial pour compenser le choc et la peur associés au fait d’avoir un cancer du sein.

La guérison traditionnelle autochtone

La guérison traditionnelle autochtone est une pratique holistique qui cherche à régler les déséquilibres du corps, de l’esprit, des émotions et de l’âme. Ces déséquilibres seraient la cause de la maladie et résulteraient du fait d’avoir ignoré les lois sacrées et naturelles. Les pratiques de guérison traditionnelles sont distinctes et propres à la culture des personnes qui les adoptent. Au Canada, les Premières nations, les Inuits et les Métis considèrent la santé comme étant l’équilibre entre les dimensions physique, affective, mentale et spirituelle d’un individu. Ces quatre éléments peuvent être influencés par la personne elle-même, sa famille, sa communauté et son environnement. Par exemple, le lien avec la terre constitue un aspect important de la guérison chez les Inuits. Se retrouver dans la nature, loin de sa communauté, peut apaiser le corps et l’esprit en supprimant les influences extérieures et en favorisant le bien-être personnel.

Les répercussions de la COVID-19 sur les patientes atteintes d’un cancer du sein. 2e partie : L’impact du traitement et de la prise en charge de votre cancer sur votre système immunitaire

Le risque que courent les patientes atteintes d’un cancer du sein et de la COVID-19 n’est pas entièrement connu. Des études démontrent que les patients atteints de cancer sont plus à risque de souffrir d’effets néfastes s’ils développent la COVID-19. Cependant, quelques recherches affirment que comparativement à d’autres patients cancéreux, les personnes atteintes d’un cancer du sein présentent moins de risque de souffrir d’une forme sévère de la maladie. Le stade de la maladie semble également jouer un rôle dans le niveau de risque couru.

La conférence de l’ASCO 2020 passe en mode virtuel

Comme la plupart des activités prévues cette année, la conférence 2020 de l’ASCO (l’American Society of Clinical Oncology) qui devait se tenir à Chicago du 29 au 31 mai s’est plutôt déroulée virtuellement. Il s’agit d’une importante conférence consacrée à la recherche qui réunit des cliniciens, des chercheurs et des défenseurs des droits des patients de partout dans le monde. Plus de 5000 résumés, affiches, diapositives et vidéos, une journée de diffusion vidéo et environ 147 expositions virtuelles y ont été présentés. Même s’il a été impossible de réunir les participants en personne cette année, l’ASCO a organisé une conférence virtuelle qui a permis de partager une quantité incroyable d’informations utiles pour les patientes atteintes d’un cancer du sein. Voici quelques faits saillants.

Le parcours d’une vie

Je n’aurais jamais pensé raconter mon histoire devant un grand groupe de personnes, mais aujourd’hui, j’estime que c’est un honneur.

Les répercussions de la COVID-19 sur les patientes atteintes d’un cancer du sein. 1re partie : le report des traitements et des interventions chirurgicales

Les individus ayant reçu un diagnostic de cancer sont considérés comme présentant un risque élevé de tomber gravement malades s’ils contractent la COVID-19. Les données provenant de différentes études illustrent que le type de cancer et son stade, l’âge de la personne, son état de santé et d’autres facteurs font varier le degré de risque auquel fait face un patient. De plus, le type de traitement qu’une personne reçoit et la durée de son dernier traitement peuvent également se répercuter sur l’issue de la maladie. Parallèlement, quelques études ont démontré que les patientes atteintes de cancer du sein s’en tiraient mieux que les patients atteints d’autres formes de cancer.

Série sur les essais cliniques. 3e partie : Les essais cliniques qui ne concernent pas l’évaluation de médicaments

Dans la première partie de notre série sur les essais cliniques, nous expliquions que les essais cliniques permettent aux médecins et aux chercheurs de tester des procédures et des thérapies médicales ainsi que des traitements pour diverses maladies et problèmes de santé. Dans la deuxième partie, nous avons déboulonné sept mythes répandus à leur sujet. Dans les deux cas, nous nous penchions sur les essais cliniques tels que les gens se les imaginent d’emblée, c’est-à-dire les essais portant sur des médicaments. Or, ils peuvent se pencher sur autre chose que les médicaments ou les interventions chirurgicales. Selon Essais cliniques Ontario, ils peuvent également être menés pour « tester des appareils, des thérapies génétiques, des produits naturels, des psychothérapies, des interventions préventives et liées au mode de vie, ainsi que plein d’autres éléments liés à la santé. » 

Le tamoxifène me sauve la vie, mais détruit mon estime personnelle

Je pourrais pleurer en écrivant ceci. Ou peut-être que hurler pendant cinq minutes la tête enfouie dans un oreiller pour ne pas me faire entendre des voisins serait mieux. L’insonorisation de mon condominium laisse à désirer. D’une façon ou d’une autre, ma réalité n’est pas près de changer. Et par réalité, je veux dire mon corps et le surplus de poids que je traîne depuis que j’ai commencé à prendre du tamoxifène il y a un an.

Série sur le mode de vie et la nutrition des patientes atteintes de cancer du sein et des survivantes. 2e partie : Trois régimes qui nuisent au lieu d’aider pendant un cancer du sein

L’impression surgit si rapidement dans la foulée d’un diagnostic de cancer du sein que je crois que le médecin qui annonce que « c’est un cancer » devrait du même souffle dire : « Pour le restant de votre vie, préparez-vous à abandonner toute idée voulant que vous ayez déjà détenu un minimum de contrôle sur votre santé, pauvre femme. » Certaine que vous ne pourrez jamais retrouver votre équilibre, vous cherchez désespérément la moindre chose qui vous permettrait d’atteindre stabilité et harmonie. Pour de nombreuses femmes, la nourriture devient cette « première chose ». Les insoutenables et mauvaises habitudes alimentaires commencent toutes quelque part et malheureusement les régimes à la mode circulent constamment parmi les communautés du cancer du sein.

Est-il sécuritaire de recevoir des traitements contre le cancer durant la pandémie de COVID-19 ?

La pandémie de COVID-19 s’avère particulièrement inquiétante et difficile pour de nombreux patients atteints de cancer et leur famille. Comme vous l’avez sans doute déjà entendu, les patients atteints de cancer et les survivants pourraient présenter un risque plus élevé de souffrir de complications liées à la COVID-19. En effet, le cancer et ses traitements peuvent contribuer à affaiblir le système immunitaire. De nombreux patients se posent donc des questions sur la meilleure approche à préconiser pour leurs soins oncologiques. Ils se demandent entre autres s’il est sécuritaire de poursuivre leur traitement, s’ils seront dorénavant considérés comme non prioritaires par le système de santé et de quelle façon ils peuvent réduire leur risque de contracter le virus.

Être mère et avoir un cancer du sein

Les femmes assument une multitude de fonctions et recevoir un diagnostic de cancer du sein n’y change rien. Les mères demeurent mères, les filles ne cessent pas d’être les filles de leur mère ni les sœurs de leurs sœurs. Le cancer du sein oblige peut-être certaines femmes à suspendre temporairement des choses comme leur emploi ou leur carrière, mais les divers rôles et responsabilités qu’elles endossent dans toutes les facettes de la vie ne disparaissent pas. Parmi ces rôles, il y a celui d’être mère. À l’occasion de la fête des Mères, nous avons demandé à des patientes atteintes d’un cancer du sein de partager avec nous l’âge qu’avaient leurs enfants au moment de leur diagnostic. Nous voulions connaître les répercussions qu’a entraînées le cancer du sein dans leur vie de mère et vice versa. Voici quelques-unes de ces histoires.