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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : chemotherapy

Les biosimilaires contre le cancer : ce qui nous attend

Les médicaments biosimilaires sont utilisés depuis déjà quelques années au Canada, surtout dans le domaine des maladies chroniques et celui des soins de soutien. Mais dans un avenir rapproché, ils serviront également à traiter le cancer. Il n’existe pas beaucoup d’information au sujet de ces nouveaux biosimilaires anticancéreux et il importe que les patientes atteintes d’un cancer du sein sachent de quelle façon ces médicaments innovants pourraient affecter leur plan de traitement. Attardons-nous à quelques biosimilaires émergents qui seront bientôt employés en oncologie.

Faits saillants de la conférence annuelle de l’ASCO

Plus tôt ce mois-ci a eu lieu à Chicago la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO). Cette rencontre constitue une occasion pour des professionnels en oncologie venus de partout dans le monde d’en apprendre davantage sur les avancées principales de la recherche portant sur tous les aspects des soins oncologiques. Nous avons dressé la liste des faits saillants sur le cancer du sein dont il a été question lorsque de l’édition 2018 de cette conférence :

Médicaments biosimilaires : qu’en disent les médecins ?

Maintenant que vous en savez davantage sur les biosimilaires, il pourrait s’avérer intéressant de connaître le point de vue d’un médecin sur ces médicaments. Nous avons joint le docteur Sandeep Sehdev, oncologue médical à l’Hôpital d’Ottawa, pour qu’il nous donne son avis sur les biosimilaires et qu’il nous fasse part de ce qu’il juge nécessaire pour les patientes de savoir à leur sujet.

Conseils pour gérer le cerveau embrumé lié au cancer

Les patientes qui subissent une chimiothérapie se plaignent souvent d’avoir le cerveau embrumé, d’où son nom courant de « chimiocerveau ». Mais en quoi consiste le cerveau embrumé et pourquoi se produit-il ? Et, surtout, comment peut-il être géré ?

Essais cliniques 101

Les essais cliniques jouent un grand rôle dans la découverte de traitements innovants contre le cancer. Ils aident à établir l’innocuité et l’efficacité de possibles nouveaux médicaments. Pour les patientes atteintes d’un cancer métastatique, ils peuvent aussi s’avérer une option de traitement supplémentaire lorsque le cancer est devenu résistant aux médicaments habituellement utilisés.

Le point sur la recherche : avril

Voici quelques faits saillants des plus récentes recherches sur le cancer du sein :

Suspendue dans le vide en attendant que commence le reste de ma vie

Jenn Abbott compare la fin de son traitement contre le cancer à un trapèze volant. Depuis l’annonce de la nouvelle selon laquelle il n’y a plus de signe de la maladie, elle flotte dans les airs. Elle ne tient plus la barre que représente l’équipe médicale qui lui a sauvé la vie, mais elle n’a toujours pas attrapé la barre qui symbolise le reste de sa vie après le cancer. Elle vit dans l’incertitude. Elle doit affronter un trouble de choc post-traumatique provoqué par son traitement contre le cancer qui consista en cinq interventions chirurgicales et en une réaction allergique sévère à la chimiothérapie pour laquelle elle dut être hospitalisée pendant deux semaines. Elle croit bel et bien qu’un traitement contre le cancer peut déclencher un trouble de choc post-traumatique.

Vivre comme si j’étais sur le point de mourir

Je viens d’Ottawa. En mars 2011, je reçus de novo un diagnostic de cancer du sein métastatique accompagné de métastases aux os. Je suis une mère, une fille, une sœur, une artiste, une lesbienne, une athée et une jardinière de 53 ans.

La crainte d’une récidive est vive pour une patiente atteinte d’un cancer du sein triple négatif

Kelina se sent comme une proie facile. Malgré le travail acharné des chercheurs, il n’existe aucune thérapie ciblée pour traiter le cancer du sein triple négatif diagnostiqué en décembre 2015 chez cette résidente de Montréal.

Journée du cancer du sein triple négatif

La Journée du cancer du sein triple négatif est un événement mondial annuel qui se tient le 3 mars. Consacrée à la sensibilisation et au financement populaire, cette journée vise à contribuer à l’éradication de cette maladie et à souligner le courage et la force de ceux qui en sont atteints ou qui l’ont été.

Courir sa chance

C’est bien de se fixer des objectifs ambitieux.

Je disputai mon premier marathon l’année où je fêtai mes 50 ans. J’en terminai un autre deux ans plus tard. J’adorais poursuivre des objectifs de mise en forme qui me forçaient à me dépasser physiquement. Courir régulièrement me faisait sentir forte et en bonne santé. En novembre 2015, je me donnai un nouveau but : courir un marathon à l’automne 2016 suffisamment rapidement pour me qualifier pour le marathon de Boston.

Conseils pour atténuer la fatigue

La fatigue liée au cancer dépasse largement la lassitude éprouvée après une longue et dure journée. Votre traitement contre cette maladie peut provoquer une impression d’épuisement physique complet. Vous devenez si exténuée qu’il vous est impossible de sortir du lit. Peu importe le temps passé à vous reposer, votre énergie ne revient pas.

Mieux vivre avec la neuropathie périphérique induite par la chimiothérapie

Certaines chimiothérapies peuvent modifier ou abîmer les terminaisons nerveuses, plus fréquemment celles des nerfs sensoriels. Ces derniers sont chargés de transmettre au cerveau certaines sensations comme le toucher, la chaleur, le froid ou la douleur. Quand ces nerfs sont endommagés, il peut être ardu de percevoir adéquatement les informations sensorielles. S’ensuivent alors parfois des picotements, des impressions de brûlure ou de l’engourdissement dans les pieds ou les mains. Ces symptômes débutent habituellement dans les doigts ou les orteils et se dirigent graduellement vers le centre du corps. Il peut en résulter une douleur débilitante, une difficulté à ressentir le froid et la chaleur et une réduction de la fonction motrice.

Comment je repris le contrôle de ma vie après avoir cru le perdre aux mains du cancer du sein

Cet épisode de ma vie commença en 2015, la veille du jour de l’An, quand j’aperçus une marque rouge sur mon sein droit. En moins de deux, je fus prise d’un vertige, mon visage s’empourpra et je tentai tant bien que mal d’avaler cette boule qui était maintenant coincée dans ma gorge.

Surmonter les effets secondaires permanents du cancer du sein

En 2011, Wendie Hayes de Stoney Creek Mountain en Ontario découvrit une bosse dans son sein droit. À 55 ans, elle reçut un diagnostic de cancer métaplasique du sein triple négatif à tumeur phyllode. Ce type de cancer étant rare (moins d’un pour cent des cas), en arriver au bon diagnostic prit un certain temps.

Demandez à un expert : la neutropénie fébrile expliquée

La neutropénie fébrile est un effet secondaire fréquent et potentiellement grave de la chimiothérapie.

Mon récit

Lorsque j'ai soudainement reçu un diagnostic de cancer du sein plus tôt cette année, je suis vraiment tombée en état de choc durant les premières semaines. Je crois qu'il est faux de dire que le diagnostic est le début d'une traversée. Ce n'est pas une traversée. C'est un chemin de croix quant à moi.

Droit devants vers la nouvelle personne que je suis

« Ça fait du bien de te voir dans ton état normal », m’a récemment dit un ami. J’ai hoché la tête et affiché mon plus beau faux sourire. Ça fait maintenant trois ans que j’ai reçu mon diagnostic de cancer du sein, deux ans que mes traitements sont terminés et dix-huit mois que j’ai subi une mastectomie bilatérale. J’ai perdu mes cheveux, j’ai reçu des radiations, j’ai été émincée, coupée en cubes et rapiécée. Je suis forte. Je suis heureuse, mais je suis loin d’être revenue à mon état « normal ».

Comment j’ai appris à composer avec les réactions des étrangers

J'ai découvert une bosse dans mon sein gauche par accident à l'été 2006, peu après avoir eu 40 ans. Après une mammographie et une biopsie, j'ai eu droit à un diagnostic de cancer du sein. C'était un CCIS multicentrique et très agressif. En bref, il en a résulté un tourbillon de plans de traitement et de chirurgie impliquant une chimio, une mastectomie bilatérale, de la radiothérapie, une hystérectomie et enfin une chirurgie reconstructive.

Croire

Patricia Stoop, 43 ans, est épouse, mère et ergothérapeute en soins à domicile; elle vit dans une petite ville de la Colombie-Britannique. En 2011, elle a remarqué quelques bosses à son sein et a reçu un diagnostic de cancer du sein agressif, avancé localement, du type HER-2.