By continuing to use our site, you consent to the processing of cookies, user data (location information, type and version of the OS, the type and version of the browser, the type of device and the resolution of its screen, the source of where the user came from, from which site or for what advertisement, language OS and Browser, which pages are opened and to which buttons the user presses, ip-address) for the purpose of site functioning, retargeting and statistical surveys and reviews. If you do not want your data to be processed, please leave the site.

La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : recurrence

Peut-on prévenir une récidive du cancer du sein? Non, mais voici six étapes qui peuvent nous y aider.

Si j’avais été chercheuse et que j’avais découvert un moyen d’empêcher le cancer de récidive, je serais tellement riche aujourd’hui! Mais, ce n’est pas le cas. Je suis simplement une femme normale en proie à des coups de stress épisodiques à l’idée que son cancer revienne un jour. Je ne pense pas à ça constamment, mais ça m’arrive assez régulièrement pour que ça soit devenu une constante dans ma vie, comme une arrière-pensée toujours présente. C’est normal étant donné que j’ai eu un cancer du sein et que ça se peut qu’il revienne. Ces pensées semblent ressurgir et prendre de l’ampleur chaque fois que je dois faire une mammographie ou une échographie de contrôle. Et donc, comme en ce moment je pense au nombre de jours qu’il me reste avant mon prochain examen de contrôle, elles ont refait surface.

Pourquoi ce n’est pas drôle d’avoir un cancer? Raison no 4 : l’opération n’empêche pas les récidives

Dans cette série d’articles, nous présentons des extraits du livre du Dr David Stewart, A Short Primer on Why Cancer Still Sucks. Un cancer peut récidiver même si la tumeur a été complètement enlevée par voie chirurgicale. Certaines personnes ne peuvent même pas avoir recours à l’opération chirurgicale.

Vue et fertilité, ces pertes dues au cancer du sein métastatique

Il y a cinq ans, en 2017, j’ai fait un tomodensitogramme à la BC Cancer Agency et je pensais que c’était le dernier. J’en avais enfin fini, j’étais enfin délivrée. J’avais bien quelques symptômes de reflux gastro-œsophagien, dont des rots à répétition, mais on m’avait dit que c’était dû à l’anxiété. J’attendais donc les résultats de ce dernier tomodensitogramme en pensant que j’allais enfin pouvoir sortir du monde du cancer. C’était ce que pensait l’équipe soignante et je les croyais étant donné que cela faisait déjà cinq ans et demi qu’on m’avait diagnostiqué un cancer de stade précoce. Même si la peur de la récidive était bien là, j’y croyais dur comme fer, tout comme mon oncologue.

La sensibilisation au cancer du sein va au-delà du ruban rose

La sensibilisation au cancer du sein va au-delà du ruban rose. Voilà, c’est dit! C’est plus que de dire que le cancer du sein existe. Tout le monde sait que ce cancer existe et pratiquement tout le monde connaît quelqu’un qui en a été atteint. Et pourtant, on entend encore des patientes dire « si j’avais su ».

Ressentir et se libérer de la peur d’un cancer secondaire

Cela vous arrive-t-il de penser que vous avez une autre tumeur? Je ne parle pas d’une récidive du cancer, mais d’une autre tumeur? Si c’est le cas, est-ce que ces pensées surviennent brusquement, à certains moments, comme lorsque vous ressentez une douleur à l’épaule ou sur le côté, ou lorsque vous prenez une grande inspiration et que vous ressentez une douleur vive au moment d’expirer? Dans ces moments-là, est-ce que vous vous dites « mince, j’ai une tumeur »! Puis, vous essayez de vous raisonner et de sortir de ce mode de pensée paranoïaque? Moi, ça m’arrive.

Vivre avec un cancer inflammatoire du sein

Je découvris une bosse dans mon sein gauche en août 2014. C’est un symptôme inhabituel du cancer inflammatoire du sein (CIS), une forme rare et agressive de la maladie qui provoque un blocage des vaisseaux lymphatiques.

Le cancer du sein triple négatif : contrôler la peur de la récidive

« Une terreur extrême me hantait. »  C’est ainsi que Shelley Moore de Saint Albert en Alberta décrit sa réaction à l’annonce de son diagnostic de cancer du sein triple négatif de stade II en 2014.

Comment je repris le contrôle de ma vie après avoir cru le perdre aux mains du cancer du sein

Cet épisode de ma vie commença en 2015, la veille du jour de l’An, quand j’aperçus une marque rouge sur mon sein droit. En moins de deux, je fus prise d’un vertige, mon visage s’empourpra et je tentai tant bien que mal d’avaler cette boule qui était maintenant coincée dans ma gorge.