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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : mammogram

Avoir peur, choisir le courage et aider les autres

Quand j’étais jeune, ma mère s’est battue contre un lymphome pendant dix longues années pour finalement mourir d’une leucémie. Adolescente, je l’ai accompagnée tout au long de cette épreuve difficile sans me rendre compte que je développais un syndrome de stress post-traumatique. C’est ainsi que la santé physique et le bien-être sont devenus une fixation : ils représentaient pour moi des garanties contre le cancer. Cette obsession était ancrée dans la peur — une peur si profonde que je ne voulais pas avoir d’enfants, terrifiée à l’idée de devoir les soumettre à l’horreur des traitements que j’avais connue avec ma mère.

Dépistage payant du cancer du sein : le prix peut en valoir la peine

J’ai toujours vécu au Canada, alors évidemment, j’ai supposé que j’aurais droit à toutes sortes d’examens et de dépistages gratuits lorsque j’ai découvert la masse dure de la taille d’un petit pois dans mon aisselle droite. Et pourtant. Voilà comment s’est déroulé le dépistage de mon cancer du sein.

Le carcinome lobulaire : un sous-type différent de cancer du sein

J’étais sous le choc quand j’ai appris que j’avais un cancer du sein. Mes mammographies n’avaient jamais rien montré. Un jour, j’ai remarqué qu’un de mes mamelons était inverti. Je suis donc allée voir mon médecin, qui m’a recommandée d’urgence à une clinique du sein à Ottawa. Là, on m’a fait faire des analyses qui ont montré que j’avais un carcinome lobulaire à un stade avancé.

À la fille debout dans la jaquette d’hôpital bleue (2e partie)

Je vais bien. La peur et la nervosité sont toujours là, mais je vais bien. J’arrive à trouver une certaine paix et une certaine sérénité dans tout ce chaos. Cela fait 42 jours que m’a vie a radicalement changé. C’est dur d’arriver à accepter les choses quand on reçoit ce genre de diagnostic et qu’en plus, on vit la fin d’une relation. Pourtant, je continue de sourire et de rire. La vie est incroyable. L’univers a sa manière à lui de faire les choses que je ne comprendrais jamais complètement, mais le fait est qu’on arrive toujours à voir la lumière, même dans les pires moments.

À la fille debout dans la jaquette d’hôpital bleue (1re partie)

On a reçu les résultats.

Asseyez-vous.

Prenez une grande respiration.

C’est positif.

Ta vie est sur le point d’être bouleversée avec tous les rendez-vous et les traitements, mais ça va bien aller. Si 2020 et 2021 t’ont appris une chose, c’est que tu es forte.

Des experts répondent à vos questions : une radiologue répond à vos questions sur les examens d’imagerie médicale réalisés dans le cadre du suivi médical après un cancer du sein

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors d’une session qui a eu lieu en avril 2022, au cours de laquelle la Dre Jean Seely, chef du Service d’imagerie médicale de l’Hôpital d’Ottawa, a répondu à des questions portant sur le dépistage du cancer du sein et les examens d’imagerie médicale réalisés après un cancer du sein. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo. Par ailleurs, nous vous invitons à lire notre guide de promotion et de défense des droits des patient(e)s sur le suivi médical après un cancer du sein pour en savoir plus à ce sujet et pour savoir comment défendre votre droit à des examens de dépistage appropriés.

« C’est probablement rien » : apprendre qu’on a un cancer du sein à 30 ans

Tout a commencé en juillet 2021. Un écoulement sanguin de mon mamelon m’a conduite dans le labyrinthe infernal de Google et de WebMD, lesquels, pour une fois, étaient rassurants : c’est généralement anodin. Le jour suivant, je prenais rendez-vous avec mon médecin, qui pensait pareil : c’est probablement rien, mais je vais vous prendre rendez-vous dans une clinique du sein afin d’en avoir le cœur net...

Le dépistage pour toutes !

Il y a un peu plus de deux mois, j’ai commencé à ressentir des douleurs étranges dans mon sein droit. Une sensation lancinante qui irradie du côté droit jusqu’au mamelon et en dessous du sein. Elle apparaît parfois quand j’appuie mon bras contre mon sein ou quand je bouge tout le bras. De temps en temps, je la sens quand mon bras repose contre ma poitrine. Toucher la zone avec les doigts ne fait qu’accentuer la douleur, et pourtant, comme je semble être incapable de contrôler mes impulsions, je passe mon temps à appuyer dessus pour vérifier que ça fait toujours mal. Ça fait toujours mal.Il y a un peu plus de deux mois, j’ai commencé à ressentir des douleurs étranges dans mon sein droit. Une sensation lancinante qui irradie du côté droit jusqu’au mamelon et en dessous du sein. Elle apparaît parfois quand j’appuie mon bras contre mon sein ou quand je bouge tout le bras. De temps en temps, je la sens quand mon bras repose contre ma poitrine. Toucher la zone avec les doigts ne fait qu’accentuer la douleur, et pourtant, comme je semble être incapable de contrôler mes impulsions, je passe mon temps à appuyer dessus pour vérifier que ça fait toujours mal. Ça fait toujours mal.

Mon eczéma s’est avéré être la maladie de Paget — un cancer du sein rare

Mon texte se veut un message d’intérêt public pour toutes les femmes. On nous dit toujours de pratiquer l’auto-examen des seins et de passer des mammographies. La maladie de Paget du sein est un cancer du sein dont je n’avais jamais entendu parler jusqu’en octobre dernier.

Le parcours d’une vie

Je n’aurais jamais pensé raconter mon histoire devant un grand groupe de personnes, mais aujourd’hui, j’estime que c’est un honneur.

Cette masse palpable

Je pourrais débuter ce texte comme le font toutes les séances de groupe de discussion :

— Bonjour, mon nom est Rébecca, j’ai 37 ans et un cancer du sein.

— Bonjour Rébecca.

Je pourrais. *Soupir*.

Faites la connaissance de Cathy Hemeon, nouvelle membre du conseil d’administration du RCCS

Le Réseau canadien du cancer du sein est ravi d’accueillir une nouvelle membre au sein de son conseil d’administration. Cathy Hemeon de Mount Pearl, Terre-Neuve, possède une vaste expérience dans le domaine de la santé qu’elle saura mettre à profit dans son nouveau rôle. À l’instar de toutes les autres membres du conseil d’administration du RCCS, elle est une survivante du cancer du sein. Son diagnostic de cancer du sein triple positif de stade I est tombé en février 2016 après un examen d’imagerie par résonance magnétique.

J’aurais aimé savoir que j’avais les seins denses

Avoir un tissu mammaire dense rend le dépistage du cancer du sein par la mammographie plus difficile. Pourtant, cette situation est loin d’être inusitée.

L’importance de connaître la densité de vos seins

En avril 2014, je me rendis à Régina pour une mammographie de dépistage. L’avis que j’avais reçu spécifiait que je devais passer une mammographie tous les ans pour cause de « tissu mammaire dense ». C’était la première fois que j’entendais ce terme. Arrivée sur les lieux, je précisai à la technicienne que ma lettre mentionnait ma forte densité mammaire. Après la mammographie, elle observa les images et me confirma que j’avais les seins denses. Je n’avais aucune idée de ce que cela représentait pour moi, mais je l’appris assez rapidement.

Qu’est-ce que la densité mammaire et en quoi est-elle importante ?

Environ 40 % des Canadiennes, soit près de 3 millions de femmes, ont ce qu’on appelle une forte densité mammaire. Avoir les seins denses est normal et courant, mais cela peut également accroître les risques de cancer et nuire au dépistage. La densité mammaire influe sur la détection du cancer de même que sur le traitement et le pronostic des cancers diagnostiqués. De nombreuses Canadiennes ignorent leur densité mammaire. Leurs tests de dépistage s’en trouvent affectés, tout comme leur capacité à défendre leurs intérêts quand il est question de la santé de leurs seins. Pourquoi est-il si important de connaître et de comprendre la densité de vos seins ?