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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Témoignages

Méritons-nous ce mode de financement des médicaments ?

Quand je commençai à me sentir malade à l’été 2011, j’étais presque certaine de savoir ce qui n’allait pas. Je pensais que c’était mon endométriose qui faisait des siennes. Puis mes symptômes se transformèrent. Une recherche sur Google me convainquit qu’une ablation de ma vésicule biliaire devenait maintenant nécessaire. J’exagère, mais il demeure que malgré l’augmentation du nombre de signes avant-coureurs disparates, je restais persuadée qu’il y avait une explication toute simple. Je ne songeai jamais au cancer, même lorsque le gynécologue trouva dans mon sein une bosse dont j’ignorais l’existence.

Comment je repris le contrôle de ma vie après avoir cru le perdre aux mains du cancer du sein

Cet épisode de ma vie commença en 2015, la veille du jour de l’An, quand j’aperçus une marque rouge sur mon sein droit. En moins de deux, je fus prise d’un vertige, mon visage s’empourpra et je tentai tant bien que mal d’avaler cette boule qui était maintenant coincée dans ma gorge.

Surmonter les effets secondaires permanents du cancer du sein

En 2011, Wendie Hayes de Stoney Creek Mountain en Ontario découvrit une bosse dans son sein droit. À 55 ans, elle reçut un diagnostic de cancer métaplasique du sein triple négatif à tumeur phyllode. Ce type de cancer étant rare (moins d’un pour cent des cas), en arriver au bon diagnostic prit un certain temps.

En souvenir de Laurie Kingston

It seems impossible to try to capture the essence of who someone is, was, through just words. Because there are no words that really do justice to honour a person like Laurie Kingston and how her life touched so many people, people she didn’t even know. It is with great sadness that we mourn the loss of Laurie, one of CBCN’s board members, who passed away on January 8, 2018.

Ce qui a influencé mes choix liés aux effets secondaires

Je n’étais pas prête à prendre autant de décisions concernant mon traitement. Une multitude d’options s’offraient à moi et je me sentais épuisée et dépassée. À partir du moment où j’ai reçu mon diagnostic, j’ai dû faire des choix qui pouvaient changer ma vie. Comment pouvais-je m’assurer qu’ils étaient les bons ? J’ai dû apprendre à me faire confiance et à défendre mes propres intérêts lorsqu’arrivait le moment de choisir.

Une patiente atteinte d’un cancer du sein métastatique fait face à des montagnes russes d’émotions

Pour Naomi Pickersgill, vivre avec un cancer du sein métastatique et être confrontée à sa propre mort génèrent des « montagnes russes d’émotions ».

Vivre avec le cancer du sein métastatique et apprendre à savourer chaque jour

Adriana Capozzi de Bradford en Ontario reçut un diagnostic de cancer du sein de stade III surexprimant HER2 en octobre 2014. Elle subit alors une mastectomie bilatérale, 25 séances de radiothérapie, quatre mois de chimiothérapie en plus de prendre de l’Herceptin pendant un an.

Si je pouvais encapsuler le temps

Je n’ai jamais été une inconditionnelle des montagnes russes. Toutes ces montées et ces descentes me donnent des nausées. Ironiquement, ma vie ressemble maintenant à un tour de montagnes russes !

Le bon côté du cancer du sein métastatique

Pour Shelley Scott de Winnipeg, le diagnostic de cancer du sein métastatique reçu en novembre 2016 avait un bon côté.

« Il m’a aidé à apprécier des moments dans ma vie au lieu de m’inquiéter de l’avenir. C’est en quelque sorte un cadeau », affirme-t-elle.

Elle raconte l’histoire de deux collègues qu’elle connaissait qui avaient planifié un grand voyage lorsqu’ils seraient tous deux à la retraite. Ils n’ont jamais entamé leur périple puisqu’un des deux est décédé.

Le cancer du sein métastatique fit de moi une battante

En août 2016, à 39 ans seulement, Erin Richard de Sydney en Nouvelle-Écosse reçut un diagnostic de cancer du sein métastatique triple négatif.